Je feuillète tes tomes, pages de langues et de lys, citrines sous une véranda de châles et verrières au spectre des mauves, me trempant en ta flore, deltas habillés de roseaux-pavots, de cannes, leurs sèves brunes et rousses, toutes tes mises, tes allures, l’île aux tilleuls, et il fait bon respirer par toi vers où convergent chacun de mes flots …
Tu es livre

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