S’intrecciano, confusi gli omicidi inglesi
e certe tueries di giorni poco lucidi.
L’ammasso di ricordi s’imbeve di impossibili
e tutto resta attorno
galleggia senza sfogo come un enorme
giogo.
Le immagini che passano
nel video e nella mente diventano
il reale
garbuglio incomprensibile agli occhi
di un estraneo.
Capisco io qualcosa del tuo stare lontano ?
Comprendo io qualcosa di ciò che non diciamo ?
Ho scritto, ho tanto letto
ma niente mi è più chiaro. Mi resta come habit*
lo scrivere e un: « offriamo ! «
galatea
14 novembre, 2020 à 21:40
Nacimiento
Affranchie du joug pernicieux
D’un dénuement irrationnel
Elle arbore un sourire lacuneux
Face à ce vide existentiel.
Le sordide l’a métamorphosée
En étincelle ésotérique
Qui traverse le temps élagué
Par tous les esprits hermétiques.
Sur le chemin de son errance
Au nouveau jour, irrévélé
Elle aspire l’avisé silence
D’un sol hyalin recouvré.
Elle a le regard lumineux
Le visage diapré d’espérance
Au seuil d’un futur radieux
Au décent éclat de la chance.
Loin de l’autarcie intérieure
Des illusions identitaires
Elle sent les failles antérieures
Lui revenir d’un mot, d’hier.
Dans la vérité de l’intime
La mémoire est reflet fuyant
Les propos confus qui expriment
Le soufre, la douleur, le néant.
Avec abnégation et courage
Elle saura fleurir et briller
Après l’horreur et les orages
Viendra la paix la libérer.
Que de soleil, elle a rêvé
Au crépusculaire horizon
Devant elle, l’amour irisé
L’ étoilera de sa raison…
Hubix.