Le vent nettoyeur fait envoler
les feuilles dorées de la glicine.
Fifty, sa patte souple qui m’effleure
demande encore un peu d’amour.
Quelque part il y a j’en suis très sure
un champ entièr couvert
de joies et de fou rire
mais moi je creuse mon long fossé
du déséspoir à rimes plates ou même croisées.
Femme confuse
dans le jardin des reves barrés
je bouge , j’ empile des pots anciens
de déséspoir, étant certaine
que mon futur sera
ni noir , ni rose
mais juste un long boulevard
de vie morose.
galatea
29 novembre, 2017 à 17:10
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