Perchée sur des lignes je traverse la nuit attendant de l’aurore le cadeau d’un sommeil sans chagrins Et les mots que je lis les images sur l’écran sont batiste fraîcheur ou épines de douleur Quand le jour a les rênes je reprends mon tissage de beauté, de nature et de listes chaque jour plus longues de devoirs …
Près du Micocoulier

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