En vain il attend
une brise douceur ou
une vague chaude
couvrant amoureuse tous ses malheurs
Ses yeux se voilent de melancolie
son coeur reclame
une vie entière
et les tendresses d’une âme soeur
Dans l’air résonnent
des si
des sol
des faibles sons
des do passion
Ailleurs…
le souffle d’une funambule
se fait plus court
juste un soupir
lien invisible
de connexions
que seul l’amour peut maintenir
toujours flottants et
dans la même dimension
galatea
20 septembre, 2011 à 11:39
http://www.lapassiondespoemes.com/?action=viewpost&ID=57622&cat=1
Laurent H.
27 septembre, 2011 à 10:26
Très beau. Merci
galatea
27 septembre, 2011 à 22:09
Laurent …ravie de te voir ici, j’espere que mon petit coins te plaise..:)
amicalement
lilia