Phare bénévole
L’amie d’argent reprend sa place
Et nous rassure
Le soir que le noir
Dans la vallée
Vient faire un tour
Nous repoussent dehors
Voir les étoiles
Quarante degrés
Ont vraiment épuisé
Le generateur d’electricité
Les chambres chaudes
Chercher le frais
Rester surpris
Et incapables de voir
Les courbes connues
Des hautes collines
Quelques minutes
Dans l’obscurité
Leur silhouette
A’ nouveau se profilent
Je reconnais les muriers
Les prés
Les vieux chemins qui
Mènent à la ville
J’entends les sons
Naturels du hameau les longs cricris
Des grillons à minuit
Puis les cymbales
De l’eau qui tombe
Se font évident
Caractérisant
Comme un flash-back
De sons sans lumière
Le hameau retombe cinquant ‘ans
En arrière
Les arbres content
Des histoires légères
J’écoute songeuse
Feuilles amoureuses
Qui dansent dans la nuit
Bruissements d’ oiseaux
Volent vers l’abri
Lorsque le vent
Va frôler le jasmin
Sa douce note
Rend inoubliable
Cette nuit enchantée
Et nous
Roseaux sensuels
Cannes enlacées
Plions nos corps
A’ notre amour
Et au bonheur
galatea
16 août, 2011 à 13:25
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