Deux colombes au pied du chêne
Qui s’effleurent en béquetant
Leur dos semble irisé
Quand oblique la lumière
Tel un spot, vient traverser
Les sombres branches
Recouvertes de vert jeune
Printanier
Je reprends peu à peu
De ma vie la mélodie
Vivre est mon habitude
Belle et pleine de gratitude
Sans angoisses ou vaines tensions
L’air du soir
Est encore frais
Et chatouille mes narines
En soufflant dans mes poumons
Une nouvelle adrénaline
Comme un film au ralenti
Mes morceaux un à un
Vont reprendre le vieil ordre
Enfin s’éteint, enfin se tait
L’alarme rouge dans mon corps
Tu es là
Tu me combles
J’ai trouvé encore un fois
Mon refuge dans tes bras
maitresselouve
2 mai, 2011 à 15:25
C’est toujours avec plaisir que je lis ces mots douceurs, sous vos retrouvailles.Se séparer pour mieux ressentir le rapprochement…bisous..val
galatea
2 mai, 2011 à 18:26
Val , j’aime te retrouver ici. Dommage que pour une situation vraiment indefinible tu te retrouves loin et privée du plaisir de partager tes poèmes , te commentaires. Je t’embrasse.
lilia