Dans ce coin je ne trouve plus asile Un grand soleil mon corps brûle et trop souvent les vents emmènent des sales poussières La pluie aussi il y a des jours qui inonde et déborde venant violente des vieilles gouttières Frêle , nue j’ai accueilli l’etoile jaune au beau sommet de l’èclairère et le vent frais d’un jour printanier m’a …
En mode survival-Portes et fenêtres à refermer.

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