Un chemin
fait d’étoiles
dansantes
en suspension
crée une magique lueur
tout autour
des lampions
Ce soir la grande plaine
est couverte d’ouate blanche
nouvelles formes arrondies
cachent les vieilles laideurs
Solitaire je flâne
dans une ville encore vierge
l’air piquant qui chatouille
mes narines refroidies
Sur la mousse
fraîche
epaisse
je glisse ivre
désireuse de vivre
les empreintes de ma danse
quand je passé devant
les façades et les grilles
couvertes de pale velours
L’arbre nu
noir humide
est une silhouette
une prière vers le ciel
et ses branches
sont des bras recouverts
de neige pure et cristalline
comme une forme de don
de mon coeur à… mon aimé
Hasselt 30 Novembre 2010
galatea
1 décembre, 2014 à 0:56
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