Les clichés de l’automne qui se collent à ma peau Et la brume d’un regard qui me voile son monde La langueur d’un vent qui balaye affaibli les débris d’une saison sans fruits sans raison Et j’écris puis j’efface des mots prose sans pose leurs musique est finie dans les plis plus intimes découvrant les fausses notes d’une absurde symphonie …
Mes clichés de l’automne

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