Ce n’était pas l’Arcade de ça j’en suis très sûre. Mais je me souviens bien des chauds matins de mai le jaune à peine levant, entrait par les fenêtres, les portes , accompagné du chant des femmes ménagères. Leur simple mélodie interrompait, suave, mes songes de fillette qui étaient répétitifs et simples. Elle me faisait ouvrir mes yeux grands de …
Le chant qui me reveillait

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